BIOGRAPHIE

Toute la métropole connaît l’agilité et la virtuosité de Zal Sissokho. Qu’il soit branché en format soundsystem, impérial en solo, ou en osmose avec le flamenco tel qu’il l’a démontré sur Kora Flamenca, le musicien embrasse tous les courants. Tant qu’il y aura une poésie entremêlée au pied de son intrument, l’artiste affiche son envie et s’abandonne. 

Établi à Montréal depuis 1999, le Québec le fascine. Une jolie histoire raconte la fraternité le liant au patriarche Gilles Vigneault autour de la kora qu’il i lui a offerte. Sa quête artistique s’élabore par ces coups du destin de la rencontre. À force de collaborations, Zal devint le griot des frères Diouf, de Corneille, Lilison di Kinara, Monica Freire et Richard Séguin, parmi ses plus mémorables accomplissements. 

Flairant le défi, il a adapté sa kora à la création Ô du Cirque du Soleil à Las Vegas. Zal vénère et chante son monde en langue malinké, en wolof et en français. Caméléon du langage universel du coeur, ses palabres respirent l’Afrique de l’Ouest. Depuis 2004, le populaire koriste s’associe à ses pairs du groupe Buntalo. Le désir afro-mandingue croissant qui ne se tarit jamais face à aa majesté de 21 cordes.