Impossible résistance de ne pas succomber à la chanteuse camerounaise, porte-bonheur d’une musique qui donne la pêche ! Valérie Okoumé chante et respire pour le plus divin sentiment qui soit : l’amour. Dans son monde idéal multicolore grand format, elle le sert frais, arrosé d’afropop. Un choix judicieux qui se respire comme le parfum d’une rose, sur ses deux premiers albums solo DJAALÉ (2015) et KWIN NA KINGUE (Top 10 RFI des albums World/Afrique 2017), la chanteuse a collaboré avec Guy NWOGANG percussionniste de renom à l’origine de la touche rythmique ainsi que de la réalisation des deux opus. Acclamés par la critique, ils ont permis à l’artiste AfroPop de produire sur des scènes et festivals de renommée mondiale comme le Festival Gaspé (lors de sa tournée Canadienne 2022), le fameux Afrika Festival de Wurzburg ou encore Africa Oyé à Liverpool.
Se souvenir des belles choses mais aussi danser comme le faisaient ses ancêtres. Valérie porte en elle la rumba congolaise et la pop américaine de Jackson et Houston qui plaisait tant à sa famille mélomane. Voilà pourquoi elle incorpore ses courants au détail près, elle qui petite mimait ses stars vocalement et en mouvement. L’Amérique, elle veut l’avoir et elle l’aura en intégrant à Paris L’American School Of Modern Music où elle acquiert une forte base vocale durant cinq années. Ce tremplin académique la conduira tout droit vers les plus fameux dont Manu Dibango, son bienfaiteur chez qui elle apprend le sens du mot performance. Plusieurs festivals ne manquent pas d’accueillir cette valeureuse artiste pour éblouir les foules : le Festival de Cannes et Couleur Café à Bruxelles, entre autres. Propulsée, par de nombreuses collaborations à son actif (Manu DIBANGO, Flavia COELHO, James BKS, Alisha BRILLA, Délia FISCHER), Valérie fait partie de cette nouvelle génération qui puise ses influences aux quatre coins du monde. Aussi photogénique qu’ attachante, Valérie éblouit par sa beauté et sa lumière irradiante. Femme feu, femme Faya ! Ne vous laissez pas dévier de sa voie…