BIOGRAPHIE
Il fait partie des troubadours québécois portant le sceau d’adoption de toute la nation ! Toujours prêt pour la fête et l’explosion de feux de joie par des vibes au groove latin et reggaeton dansant, ses chansons sont de délicieuses piñatas pour l’ouïe !
Si le Paraguayen-Mexicain Boogát, alias Daniel Russo Garrido, s’est bâti un si vaste réseau de fans, c’est grâce à son chant trilingue anglais, espagnol, et français. International, citoyen du monde, il emprunte un chemin de traverse près de celui de Manu Chao. Son récent album Neo-Reconquista célèbre sa consécration dans l’écosystème world de Montréal, sa ville, son barrio urbain. Il y chante la passion d’aimer à en mourir dans un arrangement musical hip hop reggae dont on s’abreuve en un flux continu. Autour de lui se greffent des artistes de sa génération qui ont la côte comme Pierre Kwenders, Waahli. Un aimant vers qui tous les succès convergent.
Avec son bagage d’existences, Boogát se positionne fièrement artiste néo-québécois doté de panache. Ses œuvres chantées traitent de la destinée immigrante, la question de l’ego dans un milieu autre que celui de l’origine sur “Matar el Ego”. Jamais de saut dans l’artifice, tout ce qui anime l’artiste vient de son être incarné dans sa réalité. N’empêche que pour oublier les bas, rien de tel que de s’enfiler “Dos Cervezas” pour rafraîchir les pensées et enflammer les sens. Un must de l’été à consommer sans modération ! Son concert FINA promet d’être inédit, avec les nouveaux rythmes de son album Del Horizonte. Un cocktail désaltérant dont Montréal s’abreuvera pour la toute première fois. “Cheers” a todos y todas !